Le ministre Furlan veut éviter l’ordinateur dans les isoloirs wallons

Avec des titres pareils, on croit rêver.

Paul Furlan souhaite surtout « ne pas perturber les habitudes des électeurs » qui, en Wallonie, ont l’habitude du vote papier, avec seulement 20 pc de la population qui vote de façon électronique.

Ne pas perturber les habitudes et ne pas réfléchir à un investissement intelligent, réutilisable, voilà bien deux causes d’enlisement.

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2 commentaires sur “Le ministre Furlan veut éviter l’ordinateur dans les isoloirs wallons

  1. le vote électronique coûte 3 fois plus cher que le vote papier et pose de nombreuses questions de transparence, d’entretien… Le choix du vote papier est moins cher et moins risqué. Les Pays-Bas qui étaient passé au vote électronique sont repassé au vote papier.

  2. Ce serait intéressant de voir l’analyse qui est faite sur les coûts.
    Pour moi il a plusieurs avantages indéniables:

    1/ On peut en profiter pour équiper les écoles de matériel. Ce qui clairement ne fait pas rentrer les coûts d’une bonne partie de l’informatique dans le vote électronique. On va parler de problème de sécurité, de vétusté etc … effectivement

    2/ Le confort pour le votant est extrême, j’ai le souvenir de files interminables avec mes parents il ya des années. Depuis le passage à l’électronique … miracle.

    3/ Sur la transparence là c’est le débat classique de l’informatique qui est dangeureuse. De mon point de vue, moins il y a d’intervention manuelle, plus j’ai confiance. Donc pour moi, le dépouillement manuel est un risque bien plus important.

    Enfin, si on gagne 500 millions d’EUR et qu’on les utilise pour un financement d’écoles par exemple. Tant mieux.

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